Maire délégué : M. Patrick LABORDE

Horaires
Mardi : 9h à 12h30 et de 14h à 17h
Jeudi : 9h à 12h30
Vendredi : 14h à 17h

Gentilé : Fougeréens

Superficie : 2417 ha

Distances : Angers à 41 km, Saumur à 45 km, Baugé, Jarzé, La Flèche à 10 km

Présentation

La Commune de Fougeré a une forme ovale, Est Sud-Est-Ouest Nord-Ouest. Située au Nord du plateau Baugeois, limitrophe du Département de la Sarthe, elle est constituée d’un territoire rural agro-forestier, avec un habitat très disperse.

Au recensement de 1999, la commune comptait 739 habitants, soit une population stable depuis vingt ans, dont 286 personnes actives et parmi lesquelles 174 vont travailler en dehors de la commune.

Un relief assez accidenté caractérise la moitié sud de la commune avec trois sous-ensembles de buttes de 70 à 90 m d’altitude.

Le bourg, d’origine médiévale, est organisé en étoile autour de six routes départementales, à une altitude de 30 m. Il est enserré au confluent d’écoulements d’eau de deux ruisseaux à l’Ouest du bourg et du Verdun, à l’Est et au Nord de la Commune, lui-même affluent du Loir.

Le patrimoine naturel aussi bien terrestre qu’aquatique est très diversifié.

Le patrimoine architectural est riche, dominé par l’église Saint-Etienne au centre du bourg.

Certains éléments datent du XIème siècle, le clocher carré surmonté d’un clocher tors est du XIIe siècle.

Le Chœur Plantagenet, classé, un des plus beaux d’Anjou, est du début du XIIIe siècle et la voute lambrissée du XVIe siècle. Des graffitis à l’extérieur et à l’intérieur s’échelonnent du XIe au XVIIe siècle. De nombreux remaniements ont eu lieu au XIXe siècle. L’église Saint-Etienne appartient au circuit des Eglises accueillantes du Baugeois.

Le patrimoine communal se compose également de bâtiments du XIXe siècle, le lavoir du Pont-Durand, un jeu de boules de fort à double piste et une bascule.

De nombreux autres bâtiments, privés, chargés d’histoire, sont également présents sur la commune :

L’Aulnière, le Château de Gastines, les manoirs de la Dotferrière et de la Perdrière, XVe-XVIe siècle, la Chapelle de la Flosselière du XIVe siècle, à titre d’exemple.

L’agriculture a été longtemps l’activité prépondérante, incluant tous les métiers artisanaux qui y étaient liés, installés dans le bourg, jusqu’au milieu du XXe siècle.

Depuis cette époque un changement radical s’est opéré, avec une occupation des écarts par de nouveaux résidents, fréquemment d’origine urbaine.

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